Leopold

Genre noise rock, rap, latvian, indie, hip hop

En France : http://www.myspace.com/leopolddallasparistexas

"C'est un grand garçon mince, aux yeux lunaires, et d'abord réservé. Quelque chose de Jarvis Cocker, mais en moins anguleux. Comme sa pop dandyesque, dont l'élégance sait rester tendre - jamais hautaine. Certains se souviendront peut-être d'un premier album, sacrifié dans les remaniements internes d'un label. L'expérience fut désagréable, on le comprend. Mais, comme Léopold le chante désormais, "L'amertume ne sert à rien". Sinon à faire cette sublime ballade, "L'amertume", justement pour s'en détacher. Léopold, donc, trentenaire juvénile, ne se livre jamais tant que dans ses chansons. « Cet album parle d'argent et de sentiments, et plus exactement d’argent dans les sentiments », dit-il, sans guère plus de précisions. D'où le titre de l'album, et le thème de la chanson "Dallas Paris Texas". Une malheureuse histoire d'amour en serait la source première. Certes… mais encore ? Chut. Discrétion. Léopold ne veut pas tomber dans les pièges du chanteur romantique à deux euros trente cinq. On lui en sait gré. Éviter les évidences le force à l'originalité. Il y a cette chanson "Nous n'irons plus au cirque", sur l'abandon (?) de ses illusions rock'n'roll. À l'heure de son bac, déjà, il multipliait concerts et premières parties autour de Bordeaux. Le jeune homme est du Sud-Ouest, natif de Nérac pour être précis. Comme l'icône Polnareff, dont quelques phrasés de piano résonnent ici et là… Son sens de la provoc' aussi. Tout le monde ne pourrait pas chanter "Mon sexe est comme moi" comme Léopold, avec ce second degré qui évite toute grossièreté. À part maître Polna, en France, point de salut. « La musique à laquelle j’ai voulu me rapprocher doit être quelque part entre les Beatles et Robbie Williams.». Rome ne s'est pas faite en un jour. Mais sur la route des hymnes pop instantanés, il se pose là avec "En surface". Le genre de suite d'accords qui vous semble tout de suite familière. Et puis il y a la voix, capable de puissance, mais n'en abusant jamais. On sent les années rock, passées à hurler en anglais. Il en reste une attitude, une certaine façon de dire les syllabes les plus frenchies. Avec l'addition de ces bons points, on obtient une image. Celle d'un chanteur vraiment nouveau, et bel et bien capable, à court ou moyen terme, de dépasser le cadre du phénomène parisano-parisien. Et ce chanteur, c'est Léopold. Bienvenue dans nos oreilles ! "


Source

En France : http://www.myspace.com/leopolddallasparistexas

"C'est un grand garçon mince, aux yeux lunaires, et d'abord réservé. Quelque chose de Jarvis Cocker, mais en moins anguleux. Comme sa pop dandyesque, dont l'élégance sait rester tendre - jamais hautaine. Certains se souviendront peut-être d'un premier album, sacrifié dans les remaniements internes d'un label. L'expérience fut désagréable, on le comprend. Mais, comme Léopold le chante désormais, "L'amertume ne sert à rien". Sinon à faire cette sublime ballade, "L'amertume", justement pour s'en détacher. Léopold, donc, trentenaire juvénile, ne se livre jamais tant que dans ses chansons. « Cet album parle d'argent et de sentiments, et plus exactement d’argent dans les sentiments », dit-il, sans guère plus de précisions. D'où le titre de l'album, et le thème de la chanson "Dallas Paris Texas". Une malheureuse histoire d'amour en serait la source première. Certes… mais encore ? Chut. Discrétion. Léopold ne veut pas tomber dans les pièges du chanteur romantique à deux euros trente cinq. On lui en sait gré. Éviter les évidences le force à l'originalité. Il y a cette chanson "Nous n'irons plus au cirque", sur l'abandon (?) de ses illusions rock'n'roll. À l'heure de son bac, déjà, il multipliait concerts et premières parties autour de Bordeaux. Le jeune homme est du Sud-Ouest, natif de Nérac pour être précis. Comme l'icône Polnareff, dont quelques phrasés de piano résonnent ici et là… Son sens de la provoc' aussi. Tout le monde ne pourrait pas chanter "Mon sexe est comme moi" comme Léopold, avec ce second degré qui évite toute grossièreté. À part maître Polna, en France, point de salut. « La musique à laquelle j’ai voulu me rapprocher doit être quelque part entre les Beatles et Robbie Williams.». Rome ne s'est pas faite en un jour. Mais sur la route des hymnes pop instantanés, il se pose là avec "En surface". Le genre de suite d'accords qui vous semble tout de suite familière. Et puis il y a la voix, capable de puissance, mais n'en abusant jamais. On sent les années rock, passées à hurler en anglais. Il en reste une attitude, une certaine façon de dire les syllabes les plus frenchies. Avec l'addition de ces bons points, on obtient une image. Celle d'un chanteur vraiment nouveau, et bel et bien capable, à court ou moyen terme, de dépasser le cadre du phénomène parisano-parisien. Et ce chanteur, c'est Léopold. Bienvenue dans nos oreilles ! "


Source

Top Titres

Paradise 1

Paradise

Queer Magic 2

Queer Magic

She Said 3

She Said

Work 4

Work

Johnny 5

Johnny

October 6

October

Walking Away 7

Walking Away

Love In The Dark 8

Love In The Dark

Translate 9

Translate

Home boy 10

Home boy

Top Albums

Paradise
Paradise
pistes
Queer Magic
Queer Magic
pistes
Unattractive
Unattractive
pistes

Commentaires(0)

Connectez-vous pour commenter cet article